24 septembre 2006
trébuchante...
la nuit japonaise, je pense, devait découvrir mille lumières (mais...) dont le bleu du ciel était tout juste dans la grande poèsie du bleu. Je définirais ce bleu-triangle- comme le monde pur nous attend. Je découvre la couleur à chaque mouvement de son absence-présence, de ce reflet qu'elle renvoit vers l'infini des bleus. Alors je guette, je fais un mouvement de côté, je distingue ce que l'apparition photographique me permet de voir ou de revoir. Alors, je pénètre cette nuit magique, ce paysage aussi, là et là. Je vis une nuit japonaise, puis une autre. Peut-on entendre le son d'une photo ?
Publicité
Commentaires